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Aurore Raveneau, de la Chambre régionale d'agriculture, témoigne que " Dès le lancement de la filière EVPHEL, nous avons informé les vendeurs de ces produits qu'ils étaient désormais responsables de l'avenir de ces produits. Coopératives et laiteries ont vite compris l'intérêt de se grouper pour agir." Au total, 23 structures on rejoint le projet, ce qui représente 70 points de collecte sur les quatre départements lorrains. Avec des partenariats originaux autant qu'efficaces comme l'explique Laurent Dumet de la laiterie ULM (Meuse) : " Nous commercialisons aussi des produits d'hygiène, mais nous ne disposons pas de site pour récupérer les bidons vides. Nous avons passé un partenariat avec la coopérative voisine, EMC2, qui fournit les sites tandis que notre entreprise met à disposition du personnel pour accueillir les agriculteurs aux dates des collectes."
Selon Jean-Pierre Gryta, en charge du dossier au sein d'EMC2 " Nous avons choisi de garder les mêmes dates de collecte que pour les EVPP, en mai et en novembre, en demandant à nos adhérents de bien séparer les bidons. Pour EMC2, la collecte des EVPP avoisine les 70 tonnes, celle des EVPHEL devrait peser à peine 15 tonnes : un volume bien inférieur mais qu'il est nécessaire de collecter."

D'après Campagnes & Environnement - Juin 2011


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