Cet accord se traduira par la collecte et le recyclage d'environ 80 000 tonnes de pneumatiques usagés et représente un engagement financier de l'ordre de 7 millions d'euros. Cette opération devrait durer 6 ans.
Outre la pollution visuelle, l'existence de stocks de pneumatiques usagés représente un risque pour la santé et l'environnement (risques d'incendies accidentels ou volontaires, risques sanitaires, prolifération de moustiques, reptiles, etc…).
Les entreprises du secteur du pneumatique (manufacturiers, distributeurs) et les organisations professionnelles ont bien pris conscience du problème que représente l'existence de ces stocks et estiment de leur devoir de contribuer à leur résorption. Cet accord a été élaboré en concertation avec des associations de protection de l'environnement.