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Dans le journal édité par la Coopérative, François Thomas, responsable logistique chez Champagnes Céréales, fait un point complet sur l'efficacité et les enjeux du recyclage des déchets générés par l'activité agricole. De son point de vue, il est indispensable d'inscrire la démarche dans une logique économique, en minimisant notamment les coûts liés à l'enlèvement et au conditionnement, mais aussi en limitant les déchets souillés : " Cela vaut vraiment la peine que nous nous organisions pour que tous ces gisements de matières plastiques soient valorisés. Grâce aux débouchés qui se mettent en place, ce service de récupération prend une toute autre dimension ". Champagne Céréales peut se féliciter d'avoir un bon taux de collecte en EVPP (emballages vides) et en PAU (plastiques agricoles usagés), certainement grâce aux agriculteurs qui ont pris de bonnes habitudes dès le lancement des opérations; mais également parce que la Coopérative a mis en place un service souple avec, notamment, un accueil ouvert toute l'année sur certains dépôts pour prendre les lots d'EVPP. Mais des efforts restent à faire, par exemple pour le rinçage et l'égouttage des bidons : " C'est essentiel pour que les emballages puissent être expédiés afin d'être recyclés. Seuls les lots conformes sont acceptés par les usines de recyclage. Dans le cas contraire, ils seraient refusés et les adhérents de Champagne Céréales devraient financer, à hauteur de 1 500 à 2 000 euros la tonne, leur élimination dans des filières spécifiques ".

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