Adivalor

Actualités

ADIVALOR

À la frontière de la Haute-Loire et du Cantal, le Gaec du Lierre est posé au sommet d’une colline à 1.000 mètres d’altitude sur la commune de Mercœur. Dès son installation en 2017, Quentin Chaume a converti l’exploitation familiale à l’agriculture biologique. La majorité des 660.000 litres de lait produits par la centaine d’holsteins et d’abondance est transformée à quelques kilomètres de là, à la fromagerie Gardon de La Chapelle-Laurent.

C’est dans cette exploitation que les équipes de La Montagne se sont déplacées, à la rencontre d’A.D.I.VALOR et de cet agriculteur-recycleur.

« Le gisement que nous avons à capter est de 116.000 tonnes par an. Nous en collectons aujourd’hui 89.000. Mais nous progressons régulièrement. L’an passé, nous avons gagné 4.000 tonnes » dévoile Pierre-Étienne Genthon, responsable des relations extérieures de l’éco-organisme

Partout en France, 300.000 agriculteurs, 1.300 opérateurs de collecte et 350 industriels œuvrent au quotidien pour que les emballages et plastiques agricoles aient une seconde vie. À l’orée de sa troisième décennie d’existence, Adivalor fourmille de projets, en particulier pour préparer l’évolution de la réglementation à horizon 2025. En attendant, l’éco-organisme veut accélérer sur la relocalisation en France de sa capacité de recyclage.


Quentin Chaume (à gauche), éleveur laitier bio en Haute-Loire, en compagnie de Pierre-Étienne Genthon d’Adivalor, fait recycler les filets des bottes de paille et de foin. © Rédaction INFORMATIONS GENERALES

Lire l’article web : https://www.lamontagne.fr

PARTAGEZ